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Désolé . mais je ne pouvais passer sous le silence cet incident un peu cocasse qui finit par tous nous coûter cher $$$ . À nous contribuables .
http://www.985fm.ca/regional/nouvelles/sauvetage-a-scotstown-3-hommes-secourus-pres-de-l-174311.htmlJe crois connaître le coupable https://www.quebeckayak.qc.ca/kayak/forum-de-discussion/26-monteregieestriecentre/36530-sortie-riviere-au-saumon-scotstown-le-22-septembre
Sans rancune
Morale de l’histoire , avant de s’aventurer sur une section de près de 15 km , on s’assure qu’il y ait assez d’eau :unsure:
la navette se fait plus rapidement en hélico !!!! :laugh:
Dommage qu’on est pas un visuel de ça .
Manque de jugement total, tu laisses ton kayak dans le bois et tu pars à pieds suivant la rivière
On passe pour une belle gang de cave les kayakistes, merci
Jimb écrit:
Quote:Manque de jugement total, tu laisses ton kayak dans le bois et tu pars à pieds suivant la rivièreOn passe pour une belle gang de cave les kayakistes, merci
Bien dit !
être un bon kayakiste c’est pas juste descendre des rapides et des chutes ! être un bon kayakiste faut être capable de gérer toutes sortes de situations ( blessures, matos qui brise, manque d’eau, trop d’eau … ). Faut être capable de se démerder par sois même ! En kayak on utilise beaucoup le haut du corps mais parfois il faut prendre ses jambes et marché et si c’est dans un canyon hey bien au moin une personne dans le groupe devrait avoir les connaissances et le matos pour le sauvetage vertical.
Je trouve ca très genant quand mes oncles pi mes tantes me parle de ce genres de nouvelles qu’ils on vu a tva !
c’est beau la vie…
dans notre beau pays, on peut s’en permettre pas mal…un coup que c’Est fait, on ne peut qu’essayer que d’en tirer des lecons pour ne pas que ca se reproduise, comme les histoires à p-rouge.
Mais pour cela, il faut qu’il y ait des gens qui rapportent l’événement.
S’ils sont trop gêner pour en parler, on ne peut que se faire des idées insignifiantes et aucune réduction des possibilités que cela se reproduise.Et oui nous avons eu des probleme et nous avions une personne avec nous qui n etait pas tres bien habiller pour passer la nuit malgré un feu que nous avions fais donc du fais que cette personne avais tres tres froid meme si tout etait ok pour nous il a du composser le 911 car il ne pouvais plus continuer ou rester dans le bois avec nous
Desolé pour les petit roteux qui ce font aller le clavier mais sais comme sa sais des choses qui arrive
Jimb écrit:
Manque de jugement total, tu laisses ton kayak dans le bois et tu pars à pieds suivant la rivièreOn passe pour une belle gang de cave les kayakistes, merci
Bien dit !
__________________________Hum.. je ne suis pas d’accord… ce n’est surtout pas bien dit… Il me semble que ça manque de nuance un peu…
à moins que les principaux intéressés se soient eux même traité de gang de cave…Il y a probablement un certain manque d’expérience, de connaissance dans tout ça, non? Un manque d’expérience qui mène à prendre de mauvaise décision… La aux Saumons à Scotsown en septembre…
Quand la SQ va chercher un gars sur le Taureau???pis que c’est moi qui paie? je ne parle pas de manque de jugement total, de tu dois absolument apporter un téléphone satellite (ou spot) pour te localiser avec précision, que tu ne part pas à pieds ou je ne sais trop car je ne sais rien du contexte… je ne dis pas vous et nous passons pour une belle gang de cave…
ça manquerait de nuance.. et ce ne serait pas bien dit
ma demi-cenne.
DavidReste que plusieurs personnes semblent prendre à la légère l’arrivée du froid et des journées qui raccourcissent (idem au pritemps : journées un peu moins courtes mais nuits fraîches). J’étais pas là, mais…avec un cell, j’aurais plutôt appelé un proche pour lui dire que je serais en retard pour souper et j’aurais fait un gros feu. En 2-3 heures on peut réchauffer quelqu’un ! Et si la personne a choisi de pagayer en shorts, ben… c’est son choix ?
avec le web c’est tellement facile de s’informer pour le débit et de la rivière, gros manque de jugement 1
https://www.quebeckayak.qc.ca/kayak/forum-de-dis…town-le-22-septembre
nikkev047 écrit:
Et oui nous avons eu des problemes et nous avions une personne avec nous qui n etait pas tres bien habiller pour passer la nuitau mois de septembre, tu t’habilles manque de jugement 2
pour les autres manques de jugement, on n’était pas là et l’erreur est humaine.
pour le taureau, moi, vince, steeve wonder, Laroche on a déjà eu une dislocation d’épaule et on s’est organisé sans la SQ
nikkev047 écrit:
pour moi ont va etre chanceux le 22 sept a riviere au saumon ma prediction va etre bonne si sa continue comme sa yesssssnikkev047 écrit:
Quote:Ben tant mieux pour toi monsieur parfaiss’informer avant de partir c’est la base, pas la perfection
pour le taureau,
1-on avait la MAP,
2-on savait où qu’on était rendu
3- on a marché au put in car c’était le plus courtdans votre cas:
Saumon – Scotstown
Caractéristiques
Région: Estrie
Catégorie de rivière: Creek
Cotation: III
Longueur de la section: 15 km
Durée de la section: 4 hrs
Navette: 12 kmDébit recommandé minimum: 5
Débit recommandé maximum: 20
Portage(s): 0-2http://www.quebecwhitewater.com/fr/info-debit?task=view&id=75
vous aviez toutes les informations nécessaire pour faire un choix
http://www.cehq.gouv.qc.ca/suivihydro/graphique.asp?NoStation=030282
le kayak de rivière, ce n’est pas une randonné en vélo sur la piste cyclable
ça demande des efforts et un minimum de recherche
la section mesure 15km, me semble que vers 17:00, tu laisses les bateaux dans le bois et tu marches à la sortie. il ne peux pas te rester plus de 5 km à la marche a faire. À moins d’être vraiment stupide et d’Avoir mis à l’eau à 15:00.
Indian écrit:
Quote:Il y a probablement un certain manque d’expérience, de connaissance dans tout ça, non? Un manque d’expérience qui mène à prendre de mauvaise décision… La aux Saumons à Scotsown en septembre…le manque d’expérience ou de faire l’effort pour s’informer la différence est subjective
Mathieu Auger écrit:
Incidemment, j’encourage les kayakistes expérimentés à faire preuve de jugement à leur tour et d’informer les néophytes plutôt que de les ridiculiser publiquement.les néophytes ont été avisé du manque d’eau clairement me semble
ales écrit:
on est plusieurs en estrie à bien aimer cette section .
J’aimerais bien savoir comment tu fais pour savoir qu’il va y avoir de l’eau le 22 sept. , parce que sa fait des mois qu’elle est sèche !?!
couches-tu avec Dame Nature ?Indian écrit:
Jimb écrit:
tu dois absolument apporter un téléphone satellite (ou spot) pour te localiser avec précisiones-tu sérieux ?
mon grand père était draveur et ça n’existait pas les téléphone satellite par contre il avait le gros bon sens et pas peur de marché pour suivre la rivière. Plusieurs personnes ont faient le taureau et je n’ai jamais vu une personne avec un téléphone satellite. De nos jours, avec l’apparition de nouveaux sport, je dirais quand même que c’est plus sécuritaire surtout en ski doo (sport d’hiver ou en région éloigné), tu risques de gelé alors tu apportes la balise spot. En kayak, une tite nuit dans le bois ça replace les idées.
j’aimerais pas avoir raison mais me semble qu’on a appellé vite l’hélico, facile quand tu ne payes pas. Tu es sur une section de 15km de long, pas de dislocation d’épaule, pas de fracture, pas d’entorse marcher ça garde au chaud au pire tu as un 10 km a faire dans le bois.
Mathieu Auger écrit:
Pour ce qui est de votre famille, vos amis, ou vos collègues de travail, mieux vaut payer collectivement 25 000$ que de faire justifier le décès de confrères pour manque d’expérience.
penses-tu sérieusement qu’il y avait un danger de mort ?
Je ne suis pas un habitué du site mais cette histoire me laisse très perplexe. Je fais du kayak depuis assez longtemps et beaucoup d’autres sports de plein-air depuis plusieurs années et la nature m’enseigne quelque chose à chaque fois. Je la respecte mais jamais assez je trouve.
J’ai déjà fait la Scottstown….à la station de débit un débit min de 20-25 m3/s est assurément requis et plus idéalement. Le 22 septembre elle était à 3 m3/s à la station. Ce qui est écrit sur QWW c’est l’ancienne conversion myosis avec un coefficient de pondération de 0,2 donc le min de 5 m3/s correspond au 25 m3/s a la station que je parle. La rivière devait avoir l’air d’une trail de vélo de montagne. La run commence avec un r3 de presque 2,5 km le long du village. Donc si je comprends bien vous avez commencé la run pour vite vous rendre compte qu’il faut marcher, ca ne passe pas. Par la suite, malgré le fait qu’il n’y avait pas d’eau vous avez décidé de continuer plus loin la run (a pied en bonne partie) pour vous retrouver tard dans la journée dans le secteur plus isolé…bien que sur les cartes disponibles (guide Leclerc ou autre) on voit très bien que plusieurs chemins forestiers passent pas loin de la rivière. Je ne vous traite pas de bande de cave de mon côté mais c’est une cascade de mauvaises décisions qui ont menés à ce sauvetage.
Là ou la situation me laisse très perplexe c’est qu’il m’est arrivé une mésaventure assez majeure cette été en kayak….que je ne suis pas venu raconter ici car personne ne me connait vraiment mais là tout ca me touche tout de même un peu…
Le 23 juin on a descendu la rivière aux Écorces un groupe de 3….déjà avec du recul on se rend compte que c’est un bien petit groupe pour une telle descente. Nous avions un minimum d’équipement de sécurité et de survie, nourriture, pagaie démontable, etc. La malchance me frappe et je me suis disloqué l’épaule au rapide des Murailles à 11h30 am….pour ceux qui connaisse….pas mal creux dans le bois avec aucune possibilité de sortie évident. L’épaule reste débarqué alors je suis en douleur très intense, impossible de faire quoi que ce soit. Très rapidement la décision est prise que 1 des 3 doit descendre le reste de la rivière (3h de descente minimum à niveau bas) pour sortir au lac Kénogami et appeler les secours. Dans notre tête à nous 3 l’évacuation risque de se faire en hélico étant donné l’isolement dans lequel je me retrouve.Une fois rendu au lac Kénogami vers 15h, mon ami alerte les secours et au départ la police suggère d’envoyer un bateau à partir du lac pour venir me chercher….ce qui est une farce considérant l’endroit ou nous somme (nombreux seuils, rapides, etc impensable qu’un bateau se rende même proche). La SQ entame donc des recherches vers 17h, 2 agents avec un pick-up et aucune carte ni de 4 roues, donc mon ami embarque avec eux pour tenter de nous rejoindre par le put-in. Mon ami tente de leur expliquer que les chances de trouver un chemin jusqu’à nous sont faibles mais ils y vont pareil.
Je vous passe des détails mais une fois rendu dans le bois, au bout du chemin ou on met à l’eau et qui est carrossable seulement en 4×4, par chance le propriétaire d’un petit camp de chasse est sur place et utiliser ses 4 roues personnels pour emmener tout ce beau monde à nous (une trail de 4 roues passaient à 300 m de moi, qui était dans le fond d’un canyon assez escarpé). Ils nous trouvent finalement à 19h30….on était en train de se préparer pour la nuit. C’était en plein été, il faisait chaud et l’eau était chaude et malgré tout je gelais. C’est 2 policiers très relax, qui font des blagues et pas du tout pressé qui nous retrouvent. L’histoire finie quand même bien, malgré qu’il n’y ait jamais eu de danger réel de choses graves. Par chance l’épaule est revenue en place après 1h30, la douleur était donc beaucoup moindre tout ce temps, mais l’expérience ma marqué et je garde plusieurs séquelles physiques de l’accident à ce jour. On aurait peut-être pu sortir nous même au final, sauf que suite à l’accident l’épaule débarquée qui revient pas en place, c’était une tout autre histoire, impossible de bouger 1 pouce.
Les policiers ont dit à mon ami que l’hélico ce n’est pas tout de suite qu’on amène ça et en dernier recours. Ca coûte 25 000$ minimum selon eux. Donc en lisant cette histoire que un simple appel 911 et l’hélico arrive, à un endroit où il aurait été assez simple de se sortir seul avec un minimum de bonnes décisions, je réalise que chaque cas est traité différemment et parfois un peu de chance pourrais faire la différence entre des conséquences graves ou un sauvetage efficace et rapide (pas nécessairement dans ce cas-ci). La leçon que je tire de mon histoire c’est que quand on s’engage dans toute activité en nature et en zone éloigné, il faut être prêt à tout et ne jamais rien prendre à la légère.
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