Cette histoire donne un peu froid dans le dos.
Si un œil averti peut reconnaître la présence de pièges tels que mentionnés ci-dessus, que dire d’un fil de pêche, surtout en pleine descente d’un rapide comme le Bleuet où le kayakiste a certainement d’autres chats à fouetter que de se concentrer sur l’éventuelle présence d’un tel piège!